Ces 30 villes où les prix pourraient baisser d’ici la fin de l’année
Le JDN et Meilleursagents livrent leurs anticipations sur les prix de l’immobilier ancien dans les principales métropoles françaises. Sans boule de cristal, mais en fonction de leur Indice de tension immobilière.
(LaVieImmo.com) – Le lecteur est prévenu d’emblée : « l’idée n’est pas de prédire, à la manière d’une cartomancienne, les hausses ou les baisses de prix immobilier à venir mais d’indiquer des fourchettes d’évolution à six mois », explique le Journal du Net (JDN).
Il n’empêche. En vertu de l’Indice de tension immobilière (ITI) développé par Meilleursagents, qui mesure le rapport de force entre l’offre (les vendeurs de biens immobiliers), et la demande (les acheteurs potentiels), le journal constate que « d’ici décembre, le prix du m² devrait reculer de 3 à 5% en moyenne dans les 30 plus grandes villes de France ».
4 villes où les prix pourraient chuter de 5%
Selon l’ITI, quatre métropoles sont donc particulièrement exposées à une chance de baisse de prix de plus de 5% d’ici à décembre 2015 (l’indice y étant le plus bas – inférieur à 0,5) : Brest, Nîmes, Perpignan et Saint-Etienne. Dans ces villes, l’indice « ne recense pas plus de 0,4 futur acquéreur pour 1 vendeur début juin », précise le JDN.
16 autres agglomérations pourraient, quant à elles, voir les tarifs reculer de 3 à 5%, avec un indice compris entre 0,5 et 0,9 : Marseille, Lille, Nice, Limoges, Toulon, Le Mans, Amiens, Dijon, Metz, Le Havre, Reims, Grenoble, Tours, Villeurbanne, Angers ou Strasbourg sont dans ce cas.
Enfin, les paris restent ouverts dans 10 métropoles ou l’ITI est le plus élevé (supérieur à 1). Les prix peuvent potentiellement y chuter de 3%, ou y monter de… 3%. Il s’agit de Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Rennes, Aix-en-Provence, Montpellier, Nantes, Boulogne-Billancourt et Clermont-Ferrand.
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